“Rachel Willis-Sørensen era al suo debutto al San Carlo e ha affrontato Elisabetta con il piglio dell'interprete matura. Voce sonora, corposa, tecnica sicura e attenta al fraseggio e a tutte le sfaccettature di carattere.”
OperaClick
“Rachel Willis-Sørensen era al suo debutto al San Carlo e ha affrontato Elisabetta con il piglio dell'interprete matura. Voce sonora, corposa, tecnica sicura e attenta al fraseggio e a tutte le sfaccettature di carattere.”
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"La présence dans le rôle principal de Rachel Willis-Sørensen, soprano américaine malheureusement rare à Paris, était sans aucun doute l’attrait principal de la distribution. Dotée d’une grande voix au timbre onctueux et sombre, avec une note de lumière qui sonne comme un sanglot, d’un grave riche et d’une ligne de souffle qui semble sans fin, elle est une Violetta sensible, incontestablement touchante. C’est dans les passages les plus lyriques, où la ligne vocale s’étend en legato lui permettant de s’épanouir vers l’aigu que Willis-Sørensen est la plus séduisante, dans un « Amami Alfredo » volcanique, dans un « Alfredo, Alfredo, di questo cor » épuré et bouleversant. Son « Addio del passato », grand moment de la soirée, tout en reflets d’un timbre oscillant entre obscurité et lumière est une merveille, l’envol vocal de « Ah, della traviata, sorridi al desio » déchirant. Une grande Violetta, justement ovationnée aux saluts."
Forum Opéra
"Rachel Willis-Sørensen incarne une Violetta captivante, à la fois séduisante et profondément émouvante. Sa voix, ample et vibrante, est projetée avec un naturel désarmant. Elle brille par la constance et la clarté de ses phrasés. Son interprétation atteint des sommets d’émotion dans l’Acte III, alliant virtuosité et expressivité, ce qui lui vaut de vifs applaudissements."
Ôlyrix
“Willis-Sørensen es una gran cantante… Poseedora de un instrumento privilegiado, ancho y oscuro abajo, refulgente y estuchado arriba, y de una técnica sólida…”
Opera World
“… attractive legato and rich tone”
Bachtrack
“...she delivered an incredible performance…And Willis-Sørensen saved her softest and most impactful singing for her final “Prima che d’altri vivere,” her voice floating gloriously, the high A flat allowed to soar into a beautiful portamento an octave down for “io volli tua morir.” Her voice grew softer in the final instances with a sublime “Addio” capping off a powerful performance from the soprano.”
Operawire
“It’s a creamy voice with effortless legato and more than decent flexibility…her smooth tone unfurled without effort and the high notes emerged seamlessly out of the vocal line.”
Parterre box